Augmentation des prix et sobriété énergétique : quelles solutions pour les ménages ?
Temps de lecture :8 Minutes, 4 Secondes

Réduire sa facture énergétique est un défi des plus actuels, dans un contexte où le coût de l’énergie s’est envolé ces dernières années. Que ce soit dans le but de maîtriser votre budget ou dans le simple objectif de vivre en cohérence avec vos principes en ce qui concerne la protection de l’environnement, vous vous intéressez probablement comme tout le monde à tout ce qui touche à la hausse des prix de l’électricité. Plus généralement, nous vous proposons dans cet article de faire le tour de question en abordant les différentes solutions disponibles pour les ménages souhaitant atteindre une meilleure efficacité énergétique. Prime Renov et aides de l’État, solutions pour tendre vers l’autonomie énergétique, ou encore ensemble des gestes à adopter au quotidien pour un logement plus économe : voici des conseils et des informations utiles.

Solution 1 : engager des travaux pour un habitat plus économe

La solution la plus évidente pour réduire notre consommation énergétique est de changer nos habitudes de consommation. Et au-delà des efforts à faire individuellement chaque jour, cela passe aussi par des changements sur nos modes de consommation.

Des réformes et des aides diverses soulignent depuis des années le désir de l’État d’encourager la transition énergétique des ménages, pour une suppression progressive de l’utilisation des énergies polluantes. Pour une meilleure gestion de la consommation des logements et pour des dépenses contrôlées, toutes sortes de travaux d’isolation, de ventilation et de chauffage peuvent être engagés par les ménages. Ces travaux sont pour les particuliers le moyen de faire face aux changements importants et à l’augmentation rapide des coûts de l’énergie, mais aussi de profiter d’habitats plus confortables sous différents aspects.

Les travaux éligibles à la prime Renov

Des aides comme la prime Renov ont évolué au cours des dernières années. Cette aide est prévue pour supporter une proportion considérable des coûts engendrés pour une grande diversité de travaux dans les maisons individuelles. La prime Renov est relativement facile à obtenir, et elle touche à des travaux d’habitation de divers ordres.

  • Les travaux d’isolation sont éligibles pour cette prime mise en place par l’État. Il s’agit notamment de l’isolation des murs, ou encore de l’isolation des toitures-terrasses ou des parois vitrées. Ces projets sont encouragés, car il participe à réduire sensiblement la facture des ménages en optimisant le confort dans le logement.
  • Les travaux liés à la production de l’eau chaude sanitaire et à la pose des équipements de chauffage sont également éligibles à la prime Renov. Il s’agit spécifiquement des installations liées à l’utilisation d’une énergie renouvelable. Cela inclut les chauffe-eau solaires, les chaudières à haute performance, les pompes à chaleur air/eau, les pompes à chaleur thermique, hybride ou géothermique, ou encore les poêles ou les chaudières à bois (avec différents types d’alimentation).
  • La prime Renov peut par ailleurs servir au financement de projets comme la dépose d’une cuve à fioul, l’installation d’une ventilation double flux, ou encore la réalisation d’un audit énergétique (exception faite de l’obligation légale). Ces différents travaux complémentaires s’inscrivent aussi dans l’ensemble des projets visant à optimiser la consommation énergétique et à favoriser la transition.

Les statistiques publiées par l’Anah par rapport à la prime Renov permettent régulièrement de mettre en avant les travaux pour lesquels les Français sollicitent le plus cette prime. Les solutions relatives à l’installation du chauffage et à la production d’eau chaude sanitaire sont largement plébiscitées, avec en première position les poêles à granulés (pour plus de 300 000 demandes pendant le premier trimestre 2022). L’installation des pompes à chaleur air/eau et la pose de chauffe-eau solaire individuel viennent ensuite respectivement en 2e et en 3e position pour les travaux les plus financés avec la prime Renov.

Opter pour des travaux de rénovation à échelle globale

Il est important de garder à l’esprit que dans un contexte d’économies et de transition sur les questions énergétiques, une approche globale reste la meilleure solution. Un projet de rénovation cohérent doit être consécutif à un audit exhaustif, pour la mise en œuvre de solutions complémentaires et efficaces. Pour l’isolation thermique par exemple, choisir de changer les équipements de chauffage sans veiller à isoler convenablement la toiture ou les combles peut réduire largement l’impact de vos travaux. Une démarche complète et des travaux coordonnés, avec le concours d’artisans qualifiés, restent nécessaires.

Solutions 2 : Progresser vers l’autonomie énergétique

Pour faire face ‍à l’augmentation des prix et à la sobriété énergétique annoncées, les ménages peuvent faire le choix d’une relative indépendance en produisant leur propre électricité. L’autonomie énergétique est un état où les ménages se donnent les moyens de produire par différents procédés l’électricité qui couvre leurs besoins.

L’autoconsommation avec les panneaux solaires

Alors que les installations pouvaient coûter relativement cher il y a seulement une décennie environ, les panneaux solaires représentent aujourd’hui une solution des plus répandues. En dehors de la baisse des coûts d’acquisition du matériel requis, certaines primes viennent encore réduire la facture finale pour les ménages qui souhaitent se lancer dans la production de leur énergie.

Les panneaux solaires sont une alternative des plus pratiques pour compenser les augmentations successives du kWh observées ces dernières années. Et pour les ménages parvenant à produire plus d’électricité que la quantité couvrant leurs besoins, cette énergie renouvelable vient de surcroit représenter un moyen de profiter de revenus supplémentaires en revendant de l’énergie. L’énergie solaire est dans tous les cas une option de choix pour avancer vers une relative autonomie énergétique.

Un ensemble de solutions alternatives pour les foyers autonomes

En parallèle avec le Voltaïque, les maisons individuelles autonomes peuvent bénéficier de systèmes ingénieux pour optimiser la production en électricité et pour la dépenser parcimonieusement.

  • Des parois végétalisées sont par exemple une solution esthétique qui contribue à faire baisser l’utilisation de la climatisation.
  • L’isolation renforcée des combles ou des sols peut aider à supprimer toute déperdition d’énergie et les ponts thermiques avec l’extérieur.
  • L’énergie éolienne reste également un champ à explorer, même si cette solution reste moins courante pour les ménages que le solaire.

Changer de fournisseur pour réaliser des économies au niveau individuel

Le fournisseur historique EDF est aujourd’hui loin de détenir le monopole en ce qui concerne la fourniture de l’énergie. Pour réduire l’impact de l’augmentation des prix sur votre budget mensuel, vous pouvez faire le choix de comparer entre les propositions des différents opérateurs sur le marché. Il en existe plusieurs dizaines à l’échelle nationale, et un bon nombre de ces fournisseurs font le choix de mettre l’accent sur les énergies renouvelables.

Les bons gestes à adopter au quotidien avec la sobriété économique

En dehors des changements qui peuvent être engagés dans nos modes de consommation et par l’installation de systèmes plus économiques, il est également judicieux d’observer toutes sortes de gestes simples au quotidien pour limiter notre consommation.

  • Il est par exemple recommandé de réduire la consommation engendrée par le chauffe-eau en optant pour une valeur plafond de 55°.
  • Pour ce qui concerne le chauffage et la température ambiante dans les pièces du logement, un maximum de 19° est conseillé dans les pièces principales, contre 17° pour les chambres.
  • Mettre à profit les gadgets et les avancées technologiques pour limiter les dépenses en énergie est également une approche qui peut faire des différences significatives. La simple installation d’un thermostat sur votre chaudière peut conduire à une réduction de 15% de vos dépenses relatives. Par ailleurs, une aide de 65 euros est prévue pour chaque ménage pour l’acquisition spécifique de cet élément.
  • Les petites astuces pour diminuer ses dépenses chaque jour sont nombreuses. Pour l’électronique par exemple, choisir d’éteindre au lieu de mettre en veille des appareils comme la TV ou l’ordinateur peut faire des différences de plusieurs dizaines d’euros l’année. Avant d’acheter les appareils électroménagers, il faut veiller à choisir une classe énergétique économe. Dans des pièces comme la cuisine, le simple fait de dégivrer régulièrement le congélateur peut également se traduire de manière bien concrète sur la facture mensuelle. Il en va de même pour l’éclairage de toutes les pièces de la maison. La règle étant de ne pas laisser de lumières allumées dans les pièces vides, et de miser sur des ampoules LED.

La mise en place du bonus de sobriété témoigne du désir de l’État d’accompagner les ménages dans la prise de décisions orientées vers une consommation plus contrôlée de l’énergie.

Conclusion

Si le contexte politique et économique (conflit entre Russie et Ukraine notamment) de l’année 2022 a mis en évidence les difficultés de nombreux pays de l’UE sur le plan de l’énergie, la situation à l’échelle du monde laissait déjà largement à désirer auparavant. Pour la protection de l’environnement et d’une planète à bout de souffle, et en raison des prix croissants des énergies fossiles, les ménages ont tout intérêt à se tourner vers les alternatives offertes par l’énergie renouvelable.

Les différents choix que l’on peut faire au niveau individuel pour réduire sa consommation, ainsi que les aides et les mesures prises par l’État sont autant de points pouvant aider à réduire la facture énergétique des ménages. Dans ce contexte, les compromis et les bons choix en ce qui concerne nos habitudes de consommation ne sont pas forcément synonymes d’une baisse de notre confort au quotidien.

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Comment réduire les émissions carbone dans son entreprise ?
Temps de lecture :4 Minutes, 3 Secondes

Il est connu de tous que les gaz à effet de serre représentent un danger pour toute la planète Terre. Malgré les dispositions prises par les nations, de nombreuses entreprises continuent d’émettre ces gaz nuisibles tels que le carbone. Voilà quelques actions à mener pour réduire les émissions carbone dans son entreprise.

Revoir la consommation d’électricité de son entreprise

Pour éviter les différents désastres de l’effet de serre, la législation a mis en place un outil d’analyse des gaz à effet de serre. Il s’agit du bilan carbone au sein des entreprises, et particulièrement celles du service de numérique. Le bilan carbone vise à protéger l’environnement contre l’envahissement des gaz à effet de serre. Quel que soit le taux de gaz retrouvé, de nombreuses actions sont menées pour pallier les dégâts.

Ainsi, le premier paramètre auquel il faut réfléchir afin de réduire les émissions carbone dans son entreprise est la consommation d’électricité. En effet, la lumière et le chauffage représentent les premiers facteurs de l’émission carbone. Au fur et à mesure que la température évolue, la fréquence de l’émission des gaz à effet de serre s’élève. Il convient alors de réguler le thermostat selon la température climatique. Pour plus d’informations sur le sujet, vous pouvez vous rendre sur la plateforme globalclimateinitiatives.com.

Opter pour la fonction « mise en veille automatique » de tous les appareils numériques

Réduire les émissions carbone au sein de son entreprise commence par certaines habitudes. Bien qu’elles paraissent insignifiantes, ces habitudes peuvent considérablement impacter la réduction des émissions carbone. Il est conseillé de mettre tous les appareils numériques en veille automatique lorsqu’ils ont été longuement utilisés. Cette fonctionnalité est également l’option idéale pour les longs moments d’inactivité.

Par ailleurs, il y a également un autre critère à prendre en compte pour le bien de l’environnement. Il s’agit de la qualité des appareils électroniques que l’on se procure. La plupart des modèles révolus de ces appareils émettent massivement le carbone. Quant aux nouveaux modèles, ils répondent à certains critères de la réduction de l’émission du carbone. Ils sont opérants, épargnants et à bas carbone. Leur éclairage répond aux normes de la consommation écologique de l’énergie.

Prioriser les sources d’énergies renouvelables

Pour réduire les émissions carbone au sein de son entreprise, il faut nécessairement revoir son fournisseur énergétique. L’idéal serait de prioriser les sources d’énergies renouvelables au détriment de celles non renouvelables. Il existe d’ores et déjà une liste exhaustive de la Greenpeace regroupant les sources d’énergie intégralement écologique.

Au nombre de ces dernières, on peut énumérer Énergie d’ici provenant des dispositifs hydrauliques de la France. Il y a également Enercoop qui est d’origine solaire et éolienne. Par ailleurs, il existe Ilek qui provient de l’hydraulique et de l’éolienne.

Régulariser la pollution numérique

En raison de toute l’énergie qu’il nécessite, le système internet représente un réel facteur de l’émission de carbone. Il s’agit de la pollution numérique. En effet, les bases du système telles que les fibres optiques et la 4G émettent constamment les gaz à effet de serre. Pour cela, certaines recommandations sont à suivre au sein de son entreprise.

Concernant les e-mails, il est conseillé de minorer le nombre tout en supprimant la modalité « répondre à tous ». Pour regarder les vidéos, il est important de baisser les caractéristiques optiques. Enfin, tous les messages et fichiers présents dans la corbeille doivent être régulièrement supprimés.

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Les banques impliquées dans la lutte contre le réchauffement climatique
Temps de lecture :2 Minutes, 48 Secondes

Le réchauffement climatique est bel et bien une réalité au vu de ce qui se passe partout dans le monde. Les catastrophes naturelles sont trop régulières, et les hommes se retrouvent en danger. Toutefois, il n’est pas trop tard pour agir. Tout le monde est concerné, mais qu’en est-il pour les banques ! Tout de suite, focus sur le réchauffement climatique du point de vue de ces dernières.

Le point sur l’empreinte carbone des banques

D’après le rapport d’OXFAM France « Banques : des engagements climat à prendre au 4e degré », les plus grandes banques françaises sont responsables de 3,3 milliards d’émissions de tonnes de CO2 par an. C’est près de 7 fois les émissions de gaz à effet de serre dans tout l’Hexagone. D’après Greenly.earth, cela est dû à leurs activités de financement et d’investissement. En effet, elles dépendent grandement des secteurs d’activité particulièrement carbonés. Elles soutiennent les entreprises et les États via les prêts ainsi que les investissements de projets bruns (pétrole, automobile, industrie plastique…), et ce, partout dans le monde. Elles investissent grandement dans les secteurs polluants dépendants massivement des énergies fossiles. Si cela continue, les banques en France amènent à un réchauffement climatique supérieur à 4° d’ici l’année 2100. Face à ce constat, elles sont maintenant conscientes et mettent en place des actions pour lutter contre le réchauffement climatique. Ainsi est née la banque plus écologique.

Les impacts de l’énergie sur les banques

banques réchauffement climatique
Crédits : Pixabay

C’est certain, au cas où le problème n’est pas pris en charge rapidement, cela va pénaliser les industries émettrices de CO2 ainsi que les banques. 70 milliards d’euros, c’est la perte en cas d’augmentations de risques d’inondation et de sécheresse avec la hausse du prix de carbone. Il y aura donc un effondrement du système financier selon Christine Lagarde, la présidente de la BCE (Banque Centrale Européenne). On remarque une grande mutation de l’environnement, et à la longue, cela mettrait en péril l’économie et les banques. La question est : est-ce que les banques sont préparées aux risques climatiques ? Ce sont uniquement 20 % des établissements bancaires qui considèrent le climat comme un facteur dans l’octroi de prêts. Donc, il est vital que tous se focalisent sur des dispositifs de gestion de risques en rapport avec le climat.

Les solutions pour lutter contre le réchauffement climatique

Actuellement, ce ne sont pas uniquement les militants du climat qui demandent aux banques de reconsidérer leurs activités, mais également les autorités financières. Ainsi, on voit maintenant des banques vertes ou éthiques, elles ont commencé progressivement leur transition écologique. Pour le Crédit Mutuel, il publie l’ensemble de son empreinte carbone. Pour lutter contre le réchauffement climatique, les banques doivent aussi revoir les entreprises qu’elles financent en adoptant les conseils méthodologiques détaillés sur la mesure des émissions de gaz à effet de serre concernant les prêts et les investissements. Il y a également l’adoption des mesures internes. Pour la gestion des émissions de carbone, elles peuvent baisser leur consommation énergétique, avoir recours à des énergies renouvelables, recycler… Il est possible de combler les émissions qui restent par la reforestation. Certes, le chemin est encore long, mais un premier pas compte déjà.

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Comment s’impliquer pour l’environnement durant ses vacances ?
Temps de lecture :4 Minutes, 1 Secondes

Vous avez la fibre écolo et vous souhaitez effectuer des missions pour venir en aide à l’environnement ? Cela tombe bien, vous avez prochainement des congés dont vous souhaitez bien mettre à profit. Seulement voilà, comment réussir à s’impliquer pour l’environnement durant ses vacances ? Y a-t-il des bonnes pratiques et quelles sont-elles ? Découvrez-en davantage dans cet article.

Pourquoi s’impliquer pour l’environnement pendant ses vacances ?

Une chose qui nous semblait essentielle de rappeler avant de rentrer dans le vif du sujet sont les raisons de s’impliquer pour l’environnement pendant ses vacances.

Comme vous le savez probablement, l’environnement est aujourd’hui au cœur des préoccupations. Cet été, le réchauffement climatique a fait naître des sécheresses sans précédent. Le climat, quant à lui, est de plus en plus mis à mal et nous subissons les aléas météorologiques. Les animaux font clairement partie des victimes : beaucoup s’égarent pour trouver de quoi se déshydrater et se nourrir puisqu’ils n’en trouvent plus dans leur milieu naturel. D’autres sont tout simplement désorientés. Enfin, certains périssent.

Le problème, c’est que l’Humain est loin d’être innocent là-dedans. Il est responsable d’une grande partie de la pollution, détruit des écosystèmes entiers et bétonnise les villes quand il faudrait les végétaliser. En effet, pour ce dernier point, cela contribue à accentuer le réchauffement climatique.

Le citoyen doit alors prendre ses responsabilités et trouver un mode de consommation plus responsable. Les vacances en font partie. Profiter de ses congés pour voyager revient à alourdir son bilan carbone. Pourtant, tout le monde a besoin de changer d’air. C’est pourquoi, il est plus judicieux d’opter pour un séjour écologique.

Comment trouver un appartement à louer pour s’impliquer pour l’environnement ?

Outre la méconnaissance des vacances écologiques, si beaucoup de personnes ne se lancent pas, c’est aussi parce qu’elles ont de fausses croyances. En effet, elles pensent qu’il va être difficile de trouver un appartement à louer proche des besoins de la nature. Cependant, il n’en est rien.

Il est possible, comme pour n’importe quel séjour, de vous tourner vers un site immobilier comme RealAdvisor. Il existe de nombreux logements situés dans des villes où il y a des organisations de défense de la nature qui seraient ravis de vous accueillir.

En fonction de votre choix de mission, il est aussi possible d’être hébergé directement sur place. C’est notamment ce que propose l’association FERUS ou certains centres de soins qui mettent à disposition des logements.

Vers qui se tourner pour s’impliquer pour l’environnement durant ses vacances ?

Enfin, dernière question et pas des moindres : vers qui se tourner pour s’impliquer pour l’environnement durant ses vacances ? Pour cela, vous avez énormément de choix.

En France, par exemple, il existe de nombreux centres de soins de la faune sauvage. Ceux-ci s’occupent d’animaux sauvages orphelins, accidentés ou malades. Comme il s’agit de structures qui ont un travail monstrueux tant les demandes affluent, elles sont sans cesse en quête de bénévoles. Vous pouvez donc vous adresser à elles directement.

Dans la même idée, les associations de défense de l’environnement recherchent aussi des volontaires. C’est notamment le cas de Picardie Nature qui, chaque année, propose des missions l’été. Vous pouvez ainsi participer au comptage, à la surveillance et aux soins des phoques de la Baie de Somme.

FERUS, qui est une association de protection du loup, de l’ours et du lynx propose aussi des missions. Ici, il s’agit de sensibilisation. Vous allez sillonner plusieurs villes en étant accompagné d’autres bénévoles et d’un chef d’équipe et faire circuler des tracts. Vous aurez aussi l’opportunité de faire passer des questionnaires et d’échanger avec les passants. L’association a aussi un programme plus particulier qui s’appelle Pastoraloup. Le but ici est d’apporter un soutien au pastoralisme en zones à loups.

D’autres structures associatives proposent aussi des missions ponctuelles comme la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO). Celle-ci peut ainsi faire plusieurs appels à bénévoles pour recenser des oiseaux, en photographier ou intervenir sur ses différents centres.

Enfin, rien ne vous empêche de profiter de vos vacances pour apporter un soutien administratif aux associations. Elles ont toujours des besoins : accueil téléphonique, accueil du public, comptabilité, etc.

Comme vous pouvez le constater, les occasions ne manquent pas pour s’impliquer pour l’environnement durant ses vacances. C’est très important, car en décidant d’opter pour un tourisme vert, vous réduisez votre empreinte carbone et vous devenez un exemple à suivre. C’est une belle action à commenter et à diffuser sur vos réseaux sociaux. C’est ce genre d’influence que l’on aime voir. La question du logement pourra facilement être résolue avec le nombre d’appartements à louer et les structures qui peuvent aussi vous en mettre à disposition. Enfin, il sera toujours facile pour vous de trouver une association qui cherche des volontaires pour venir en aide à notre environnement. L’avantage, c’est que celles-ci pourront ensuite faire régulièrement appel à vous.

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Faisons-nous face à une invasion de frelons asiatique ?
Temps de lecture :2 Minutes, 47 Secondes

Un problème pour l’environnement

Si la guêpe est importante dans notre écosystème car elle fait aussi office de chasseur d’insecte et de pollinisateurs, ce n’est pas forcément le cas du frelon asiatique. Cet insecte est d’ailleurs responsable de la diminution du nombre d’abeilles qu’il chasse dans notre écosystème.

Selon l’entomologiste Quentin Rome, spécialiste des frelons asiatiques au Muséum national d’histoire naturelle, le problème vient de la quantité de nourriture que mange le frelon asiatique. On estime que les frelons asiatiques mangent l’équivalent de 10 kilogrammes d’insectes tout au long de leur vie, qui s’étend de juin à juillet, puis novembre. Plus des deux tiers de ces insectes sont des abeilles, selon le spécialiste.

Les frelons asiatiques causent aussi un stress important aux abeilles. Lors de la chasse, les frelons peuvent planer à l’entrée d’une ruche pendant un certain temps. Cet effet de paralysie provoque le gel des abeilles sur place et les empêche de quitter la ruche. En conséquence, les récoltes de nectar et de pollen sont réduites, ce qui peut finalement conduire à la famine de la ruche durant les dernières étapes du développement des abeilles ouvrières au cours l’année.

Les causes

L’augmentation du nombre de guêpes et de frelons seraient dus au réchauffement climatique, les reines de ces espèces arriveraient à survivre plus facilement et en nombre à cause d’hiver plus doux en France. L’augmentation de degré en Europe faciliterait d’ailleurs l’invasion du frelon asiatique sur nos terres. Pour rappel le frelon asiatique est arrivé en France, il y a quelques années, mais le problème s’intensifie chaque année avec sa prolifération. Ainsi les scientifiques de plusieurs régions ont constaté cette année une augmentation du nombre de nids de frelons et de guêpe en général et ceux dès le début mai, “ je remarque surtout que nous sommes en avance. Depuis vingt ans, je commence début juin, voire fin mai. En 2022, j’ai débuté les nids de guêpes autour du 10 mai”. Se confiait au figaro, Cyrprien Ferrier à la tête d’une société de désinsectisation.

Nids de Frelons que faire ?

Si vous vous retrouvez face à un nid, il vaut mieux ne pas y toucher. Car si le frelon ne s’attaque pas directement à l’homme en temps normal, s’approcher à moins de cinq mètres va être perçu comme une potentielle attaque par ce dernier, et il vous donnera une réponse venimeuse ! Les piqûres de frelons sont douloureuses, mais la proximité d’une source de chaleur, comme une cigarette ou un mégot de cigarette ou un sèche-cheveux, neutralise le venin. Le risque est plutôt une forte réaction allergique, qui vous conduira directement aux urgences, comme c’est arrivé récemment à deux cyclistes qui sont entrés sans le savoir dans un rayon de 2 mètres d’un nid de frelons. Le résultat : les 2 cyclistes ont reçu 50 piqûres de frelons et on finit aux urgences.

Si vous trouvez un nid de frelons asiatique le plus simple est de contacter votre mairie ou un expert anti frelon de votre département chargé de la lutte contre l’espèce pour les informer de l’existence du nid. Si le nid est proche de votre maison, vous pouvez essayer d’appeler les pompiers, mais les pompiers ne détruiront le nid que si la population est en danger immédiat.

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DES MAISONS DURABLES ET AUTONOMES
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Beaucoup savent peut-être que l’approvisionnement, la fabrication et le transport des matériaux de construction peuvent avoir un impact grave sur l’environnement, mais saviez-vous que la construction peut être tout aussi dure ? Le processus de construction est responsable d’importantes émissions de dioxyde de carbone qui contribuent à l’effet de serre terrestre. En extrayant les matières premières du sol, les grosses machines, en particulier celles utilisées dans l’industrie du ciment, émettent environ 5 % de tous les polluants atmosphériques mondiaux. Les gros véhicules et les machines sur le site continuent également de contribuer à l’utilisation de combustibles fossiles et aux émissions de CO2. Outre l’augmentation de la pollution de l’air, l’industrie du bâtiment représente près de la moitié de la consommation énergétique quotidienne mondiale.

Sur un chantier, les déchets et sous-produits de construction entraînent une pollution localisée des eaux et des sols. Mais il y a de l’espoir. Par la prise de conscience, les entreprises modifient leurs stratégies et adoptent des pratiques de construction verte innovantes qui limitent l’impact négatif sur l’environnement et contribuent à la préservation de la planète.

Technologie et architecture durables

Grâce aux progrès révolutionnaires réalisés dans le domaine de la technologie et de l’architecture durables, nous pouvons nous tourner vers un avenir plus vert avec des maisons qui peuvent même générer de l’énergie. Même si les maisons sont à l’ordre du jeu, cette technologie peut intervenir pour la construction d’autres bâtiments à l’instar des centres commerciaux, salles de jeux, casinos, etc. A ce sujet, si vous êtes un adepte des jeux de casino, vous pouvez toujours tenter votre chance sur Casino777 roulette

Plus impressionnant encore est le fait que l’électricité excédentaire générée peut être redirigée vers le réseau électrique. Voici quelques options à considérer lorsque vous envisagez des méthodes et des matériaux de construction durables et respectueux de l’environnement.

Chauffage et refroidissement

La climatisation pourrait bientôt faire partie de l’histoire grâce à la technologie du toit froid qui réfléchit les rayons solaires, gardant une maison fraîche. L’un des ajouts les plus récents à la technologie verte de contrôle de la température est le verre intelligent électro chromique. Le verre intelligent reflète le rayonnement solaire et peut être réglé électroniquement en fonction de la température de votre maison.

Matériaux de construction alternatifs

Le contrôle passif de la température utilise des techniques et des matériaux de refroidissement naturels et réduit le besoin de refroidissement ou de chauffage artificiel. L’installation d’une isolation verte est une excellente solution pour réguler le froid des mois les plus froids et la chaleur de l’été et du printemps. L’isolant cellulosique est l’une des options les plus écologiques sur le marché, avec 80 % de papier journal recyclé.

Les blocs de terre comprimée ou pisé sont un mélange comprimé de terre, de craie, de chaux et de gravier. La méthode de la terre battue est dérivée d’une technique de construction ancienne et est en train d’être relancée pour son contrôle efficace de la température, son faible coût et sa capacité de renouvellement.

L’eau est une ressource précieuse ; il est donc indispensable d’intégrer des systèmes intelligents de gestion de l’eau dans une construction. La collecte des eaux de pluie est parfaite dans les zones où les précipitations sont abondantes et peut être utilisée en conjonction avec des systèmes d’eaux grises qui recyclent essentiellement l’eau pour le jardin. Utilisez les eaux grises des machines à laver, des douches et des éviers et utilisez uniquement des nettoyants respectueux des plantes.

Sur le plan architectural également, une conception de maison économe en énergie peut être personnalisée en fonction de vos préférences personnelles ou façonnée par une conception à faible consommation d’énergie, passive, à énergie nulle, autonome ou à énergie positive.

Les maisons à faible consommation d’énergie ont une isolation suffisante, des fenêtres éco énergétiques, de faibles niveaux de filtration de l’air et intègrent souvent la technologie solaire et le recyclage de l’eau.

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Comment choisir sa bouteille isotherme
Temps de lecture :4 Minutes, 55 Secondes

Isotherme est un mot français qui signifie “température constante”. Il est utilisé pour décrire un objet ou un matériau capable de maintenir une température constante, même lorsque son environnement change radicalement. Cela est dû au fait qu’il a la capacité d’emmagasiner et de libérer de l’énergie thermique selon les besoins, afin que sa température ne fluctue pas autant qu’elle le ferait autrement

La bouteille isotherme est fabriquée en acier inoxydable, ce qui la rend idéale pour les boissons chaudes telles que le thé ou le café, car elle ne transmet pas la chaleur de la boisson à votre main, contrairement aux bouteilles en plastique. Elles sont également dotées d’une couche intérieure d’isolation sous vide, ce qui signifie qu’elles conservent mieux leur contenu froid que les autres matériaux ! Le joint hermétique de chaque bouteille empêche toute fuite de liquide lorsque vous le transportez dans votre sac, mais il s’ouvre également rapidement lorsque vous êtes prêt à boire un verre.

Pourquoi utiliser une gourde isotherme ?

De nombreuses raisons peuvent vous inciter à utiliser une bouteille d’eau isotherme. Tout d’abord, les bouteilles isothermes gardent votre boisson froide ou chaude beaucoup plus longtemps que les bouteilles d’eau traditionnelles en plastique ou en verre. En effet, les bouteilles isothermes sont fabriquées en acier inoxydable ou dans d’autres matériaux de haute qualité qui contribuent à préserver la température de votre boisson.

Une autre raison d’utiliser une bouteille isotherme est qu’elle est respectueuse de l’environnement. Contrairement aux bouteilles d’eau traditionnelles, les bouteilles isothermes peuvent être réutilisées à l’infini. Cela signifie que vous contribuerez à réduire la quantité de déchets produits chaque année par les bouteilles d’eau en plastique et en verre.

Privilégiez les gourdes en inox ou acier inoxydable

Il existe une large gamme de bouteilles en acier inoxydable sur le marché, des modèles très abordables aux modèles plus onéreux. Lorsque vous choisissez votre bouteille isotherme, il est important de prendre en compte l’usage que vous en ferez. Si vous en avez principalement besoin pour le transport, un modèle d’entrée de gamme fera l’affaire. En revanche, si vous prévoyez de l’utiliser pour faire du sport ou pour conserver vos boissons froides ou chaudes pendant de longues périodes, vous aurez besoin d’une bouteille plus robuste et de meilleure qualité.

Un facteur important à prendre en compte est la capacité de la bouteille. Si vous devez transporter beaucoup d’eau ou d’autres boissons avec vous, veillez à choisir un modèle qui a une grande capacité. Et si vous recherchez une gourde polyvalente qui peut pour les boissons chaudes et froides, veillez à choisir une bouteille isotherme avec un infuseur ou un shaker.

Quels sont les avantages de la gourde isotherme ?

– Elle est en acier inoxydable, ce qui signifie qu’elle est durable et ne rouille pas.

– Elle est munie d’un bouchon, ce qui évite les fuites.

– Elle est thermique, ce qui signifie qu’elle peut garder vos boissons à une température constante.

Quels sont les différents types de gourdes isothermes ?

Il existe plusieurs types de bouteilles d’eau isothermes sur le marché. Les plus courantes sont en acier inoxydable ou en aluminium. Elles peuvent être avec ou sans bouchon, et leur capacité peut varier de 500 ml à 1 litre. Certaines bouteilles isothermes sont également conçues pour le sport, avec une plus grande capacité et une forme spéciale qui facilite la prise en main. Enfin, les bouteilles isothermes peuvent également être différentes en termes de conservation de la température : certaines conserveront votre boisson froide jusqu’à 24 heures, tandis que d’autres la garderont chaude jusqu’à 12 heures.

Quels sont les critères de choix d’une gourde isotherme ?

La bouteille d’eau isotherme est proposée avec différents types de bouchons, dont le bouchon à vis, le bouchon fileté et le bouchon à charnière. Le bouchon à charnière est considéré comme le plus pratique, car il n’est pas nécessaire de le dévisser à chaque fois que vous buvez.

Quels sont les différents volumes d’une gourde isotherme ?

Les bouteilles d’eau isothermes sont disponibles en plusieurs contenances : de 0,25 à 2 litres, mais vous pouvez également acheter des bouteilles isothermes d’un volume plus petit, de 0,3 ou 0,35 litre, si vous souhaitez une petite bouteille isotherme pour un usage unique à la salle de sport ou lors d’une sortie de course.

Comment nettoyer une gourde isotherme en inox ?

– Remplissez la bouteille d’eau tiède et ajoutez quelques gouttes de produit vaisselle.

– Faites tourner la bouteille pour créer de la mousse et laissez-la tremper pendant quelques minutes.

– Rincez soigneusement la bouteille à l’eau chaude.

– Secouez l’excédent d’eau et laissez la bouteille sécher à l’air libre.

Quel bouchon pour une gourde isotherme ?

Il est important de choisir le bon bouchon pour une bouteille d’eau isotherme en fonction de différents paramètres tels que le diamètre du goulot, la forme de l’embouchure ou encore sa matière. Voici, les différents types de bouchons : Bouchon anti-fuite, Bouchon sport, Bouchon souple en silicone, Bouchon loop.

Quel est le poids d’une bouteille isotherme ?

Le poids d’une bouteille isotherme varie entre 200 et 400 grammes

Les bouteilles isothermes sont-elles sensibles aux chocs ?

Oui, les bouteilles isothermes peuvent être sensibles aux chocs. Si vous laissez tomber une bouteille isotherme, la force de l’impact peut provoquer une agitation du liquide à l’intérieur et créer des poches d’air. Ces poches d’air peuvent ensuite geler rapidement et former des cristaux de glace qui peuvent endommager l’isolation de la bouteille.

Que veut dire “BPA free” ?

Cela signifie que le produit est exempt du produit chimique bisphénol-A (BPA), un composé synthétique souvent présent dans les plastiques et les résines. Le BPA est un perturbateur endocrinien, ce qui signifie qu’il peut interférer avec les systèmes hormonaux de l’organisme. Des études ont montré que le BPA peut s’échapper des produits fabriqués avec ce produit et se retrouver dans les aliments ou les boissons, où il peut potentiellement nuire à la santé humaine. C’est pourquoi de nombreux fabricants produisent désormais des produits “sans BPA”.

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